Infection bactérienne maternofœtale (hors listériose) - 28/06/13
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Résumé |
L'infection maternofœtale (IMF) bactérienne est un problème de santé publique provoquant une infection néonatale dans environ un à deux cas pour 1000 naissances vivantes avec, encore actuellement, une mortalité d'environ 3 % et une morbidité parfois sévère (séquelles neurologiques ou respiratoires). L'IMF bactérienne reste majoritairement liée au streptocoque du groupe B (SGB) qui, le plus souvent, contamine le nouveau-né lors du passage de la filière génitale au moment de l'accouchement. Pour prévenir l'IMF néonatale à SGB, une politique de dépistage du portage vaginal maternel du SGB est recommandée en France entre la 34e et la 38e semaine d'aménorrhée afin d'effectuer une antibioprophylaxie per-partum en cas de portage positif. Cette stratégie de prévention a permis de diminuer le nombre d'IMF néonatales à SGB, mais expose un nombre important de parturientes et de nouveau-nés aux antibiotiques. Cela modifie l'écologie bactérienne en augmentant la proportion des IMF à Escherichia coli, dont le sérogroupe K1 est responsable d'infections néonatales sévères. Ureaplasma est aussi fréquemment mise en cause alors que son rôle pathogène est incertain.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Infection maternofœtale, Streptocoque du groupe B, Rupture prématurée des membranes, Antibioprophylaxie, Chorioamniotite, Ureaplasma, Escherichia coli, Infection néonatale
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